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Audemars Piguet lance une édition limitée Lionel Messi

On découvre aujourd’hui que la prestigieuse maison de haute horlogerie Suisse Audemars Piguet a décidé de concevoir une montre spécialement et en collaboration avec le célèbre joueur de football argentin, j’ai nommé Lionel Messi.

Trible ballon d’or déjà à l’âge de 25 ans avec son club le FC Barcelone, tout semble réussir à ce virtuose du ballon rond. Déjà heureux possesseur d’une montre Audemars Piguet offerte par son club après avoir décroché son premier Titre, le jeune argentin se paie le luxe de s’offrir un second garde-temps de la marque : la royal Oak. Enfin « se paie », pas vraiment car cette montre lui a été offerte cette fois-ci par l’horloger pour en faire un de ses ambassadeurs renommés.

Montre audemars piguet édition limitée lionel MessiAccro depuis toujours des montres Audemars Piguet, c’est avec un grand plaisir que l’Argentin a travaillé en collaboration avec les designers de la marque pour donner naissance à la montre de ses rêves. « Passion, précision et rigueur » sont les valeurs sur lesquelles le joueur de football et l’horloger se rejoignent. C’est peut-être ces valeurs qui ont permis à la marque Audemars Piguet d’être encore après toutes ces années aux mains de ses fondateurs, ce qui n’est le cas que d’un nombre réduit d’horlogers suisses de nos jours.

Question marketing, on constate que l’horloger a fait les choses en grand pour promouvoir ce partenariat créatif avec le footballer. Un making of a même été réalisé dans lequel on peut voir le joueur tiré à quatre épingles de faire photographier sous tous les angles.

Avis aux amateurs à la fois de montres et de football, cette collection de montres est limitée à 1000 exemplaires et il faudra vous délester d’un montant affichant au minimum cinq zéros pour vous offrir ce précieux objet de luxe.

Découvrez le making of de cette édition limitée de Audemars Piguet. Les montres suisses dominent déjà depuis plusieurs décennies le marché de l’horlogerie de luxe à l’échelle mondiale. Preuve que leur domination n’effraie pas tout le monde, un jeune Français expatrié à Hong Kong, Adrien choux, a fait le pari de lancer la toute première manufacture de montres de luxe chinoise. La « chinese timekeeper » tente de bousculer les idées reçues et de changer notre conception du « made in china », abritant le plus souvent une connotation négative de basse qualité. L’autre innovation de Adrien choux, c’est de concevoir un garde-temps principalement à destination des Chinois eux-mêmes. En effet, l’entrepreneur a très vite compris la passion que les Chinois entretenaient pour les montres et plus généralement la mesure du temps qui passe. Un rapide coup d’œil sur les chiffres d’exportation de montres helvétiques vers l’empire du Milieu réussira sans mal à convaincre les plus sceptiques. Pour réussir ce pari, le créateur et ses associés ont décidé de mettre toutes les chances de leur côté en installant leur boutique exclusive en plein cœur du quartier de Wan Chai à Hong Kong.

The chinese timekeeper nous présente une montre en acier 316 L d’une taille relativement conséquente. Une particularité qui surprendra surement les puristes, le remontoir est situé à 2h. Côté design, on découvre rapidement que le chiffre 10 n’est pas inscrit en chiffres arabes, mais en chinois. Les designers ont aussi fait le choix de placer quatre vis élégantes à la surface du boitier, ce qui rend plutôt bien esthétiquement. Preuve que ce petit bijou souhaite se prévaloir de la culture chinoise, les quatre épaisseurs du boitier rappellent la forme d’une traditionnelle pagode chinoise.

Concernant le mouvement, véritable cœur de la montre, ces tocantes nous dévoilent des calibres Seagull automatiques d’origine chinoise. Seul bémol à notre sens, le logo qui pourrait sembler à certains un peu cliché. En effet, ils ont fait le choix d’un logo représentant un sage chinois avec de longs cheveux coiffés en chignon. Mais cela reste une question de gout et n’enlève rien à cette magnifique réalisation. En ce qui concerne les tarifs, il faudra vous délester d’environ 2 000 euros pour vous offrir le précieux tic-tac hongkongais. Un point important qui pourrait rebuter les Chinois de prime abord, la montre fait plusieurs fois référence au chiffre 4 (vis du cadran et épaisseur). En Chine ce chiffre est considéré comme le plus mauvais et se trouve être un homophone du mot Mort prononcé « si » en chinois. Exemple frappant, à Hong Kong, tous les buldings ne possèdent pas d’étages contenant le chiffre 4.

En conclusion, un pari qui ne manque pas d’audace et qui pourrait bien en cas de succès redorer le blason du « Made in china ». Les montres suisses n’ont qu’à bien se tenir.